Letra de Alfredo Nilsson Fysher
Segundo de los temas, con letra francesa, grabados por Carlos Gardel
en Buenos Aires el 21 de sept. de 1931, con acompañamiento de la
Orquesta (Kilikian) Grégor.
Je ne dis pas son nom
mais vous la connaissez:
le soleil brille moins
que ses cheveux d’or pur.
Ses yeux languissants
le crépuscule émeuvent
et versent dans mon coeur
des rêves angoissés.
Je ne dis pas son nom,
mais vous, vous la connaissez.
Je ne rêve que d’elle, d’elle, d’elle,
elle m’obsède, j’en suis fou,
mais le plaisir de la cruelle,
c’est de me voir á ses genoux;
et sa voix est musique si belle,
parfois, ses mots sont si doux,
que je cours, chaque fois qu’elle appelle.
Oh! j’en, j’en suis fou.
Je ne dis pas son nom,
mais vous le savez bien:
c’est le plus charmant
qui règne sur notre âme,
c’est l’éternel démon,
c’est l’éternelle femme,
c’est Eve, c’est Thaïs,
c’est Carmen, c’est Manon.
Je ne dis pas son nom,
mais vous, vous la connaissez.