L’absence

Letra de Jean-Jacques Goldman
Música de Jean-Pierre Goussaud

Le tango lent de ton sang dans mes veines,
j’entends battre ta vie plus que la mienne.
Quand la nuit rapproche ceux qui sont loin,
le matin prend ma place et je m’éteins.

Nulle envie, nulle pensée pour personne.
l’absence a tout pris, que l’on me pardonne.
Quand on n’est même plus la moitié d’un
comme un billet déchiré ne vaut rien.

Les saisons ne sont plus que de passage.
Les couleurs ont déserté mes images.
Je reverrai tout quand tu seras là.
Je repeindrai tout quand tu reviendras.

Je reverrai tout quand tu seras là.
Je repeindrai tout quand tu reviendras.